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Famille / Vie de famille

Un coach en parentalité, pourquoi pas ?

Comme moi, vous avez certainement des enfants.

Comme moi, ils vous rendent parfois dingue (quelque soit leur âge).

Comme moi, vous aimeriez bien un petit coup de baguette magique pour tout améliorer.

Mauvaise nouvelle, les baguettes magiques n’existent pas (et pourtant j’ai cherché longtemps). Et leur sortir ce mug qui me fait hurler de rire « je suis une fée, la fée pas chier » n’est pas forcément un message hyper positif…. Non, non, même si ça défoule

En revanche, je connais quelqu’un qui peut vous aider, mon amie Marie Alfonsi.

Marie est coach en développement personnel et coach en parentalité. Concrètement, elle peut vous aider via son écoute et ses outils comme la CNV (communication non violente) à apaiser vos relations familiales.

J’ai beaucoup discuté avec Marie de son accompagnement et j’adore son approche. Je vous laisse découvrir notre discussion.

Qu’est-ce que le coaching en parentalité ?

Le coaching en parentalité répond à la question centrale « Comment éduquer dans la bienveillance, gagner en sérénité et pacifier les relations à la maison ».

Quand notre enfant a un problème, on l’emmène parfois chez un spécialiste avec le même état d’esprit que pour un médecin généraliste « je donne mon enfant malade et on me le rend guéri ». Sauf que c’est rarement le cas, le parent doit aussi se remettre en cause. Il est aussi nécessaire d’avoir un accompagnement parental sinon tout reste en vrac.

Mais il n’est pas facile de se remettre en question, voire assez tabou de reconnaître qu’on peut faire autrement. Nous sommes tous à la même enseigne : accepter de bouger à titre personnel, c’est dur. C’est pourquoi un coaching individuel ou en groupe peut aider à franchir ces étapes pour gagner en sérénité à la maison.

Comment expliquer que les relations avec nos enfants soient parfois si tendues ?

En ce moment on veut tout faire bien, mais parfois on ne fait qu’empirer les choses car nous n’utilisons pas les bons outils. Avez-vous remarqué comme notre façon de nous adresser à nos enfants change en fonction de leur âge ?

Prenons l’exemple de la marche : on encourage notre enfant, on accepte qu’il prenne tout son temps, tombe et recommence, nous l’encourageons systématiquement et de façon positive.  A partir de la rentrée à l’école, notre façon de s’adresser à lui change complètement. On lui met la pression, on exige des résultats, des explications.

Posez-vous la question : « votre enfant, vous l’accompagnez pour qu’il soit heureux dans ce qu’il a envie d’être ou pour qu’il soit comme vous en avez envie »?

Vous l’avez remarqué, plus nos enfants sont tendus, plus il y a de tensions à la maison. Il faut que les parents lâchent prise et fassent confiance à leurs enfants. Cela n’empêche pas de mettre en place un cadre et des règles du jeu. Vous verrez, c’est bien plus apaisant pour tout le monde.

Tu parles beaucoup de communication bienveillante, peux-tu nous en dire plus ?

La communication non violente (CNV), que j’aime aussi appeler communication bienveillante tire son origine dans le mouvement humaniste qui s’intéresse à la personne et à ses émotions. Elle est basée sur l’expression des besoins et des émotions. On se pose par exemple ce type de questions :

Comment je prends soin de moi pour prendre soin des autres ?

Comment détecter le ressenti de l’autre pour comprendre ce qui se passe ?

Comment je me mets en lien avec lui ?

Appliquée à notre relation aux enfants, on essaie de revenir au langage qu’on avait face au nourrisson pour laisser de côté le discours. En bref, parler au coeur plus qu’à la tête.

Ça paraît quand même un peu fastidieux au quotidien non ?

C’est difficile quand on commence, après cela devient naturel. Comme pour tout, il faut pratiquer. Un marathon par exemple, personne n’imagine le courir du premier coup, vous acceptez de vous entraîner régulièrement. Pour la CNV, c’est pareil.

Les outils transmis lors des formations vous apprennent aussi des choses toutes simples comme prendre le temps de souffler pour revenir apaisé.

Cette anticipation des comportements demande un travail sur soi. Il faut aussi arriver à établir une nouvelle communication au sein de la famille. Mais au final, on gagne du temps et c’est tellement gratifiant de voir les choses s’améliorer.

Fini le temps où on allait se coucher en colère à cause de ses enfants !

Marie Alfonsi

Coach en développement personnel &

Coach parental

06 32 80 55 87 / marie.alfonsi@orange.fr

Et vous ? Quelles sont vos solutions quand c’est tendu à la maison ? 

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Catherine

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